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L’abri pour les pauvres

à Escoubès-Pouts

Accueil.

A l'intérieur, on trouve une petite niche (« leytès », ancêtre du réfrigérateur !) avec une porte qui servait à conserver le lait au frais, grâce à la présence d'une source.

Il y avait également un petit lavoir.

Derrière le bâtiment, se trouve une pièce où on disposait du fourrage. Elle servait de chambre à coucher !

Le Campbatailhé.

Juste à côté de l'abri pour les pauvres se trouve le Campbatailhé ("champ de bataille") qui doit son nom au souvenir d'anciennes luttes locales de paysans.

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A la sortie du village d'Escoubès (direction Lourdes), se détache une petite cabane portant le nom d'Abri pour les pauvres.

Ce curieux bâtiment est très intéressant.

Le nom du bâtiment est gravé sur la planche de rive.

Le père de Bernadette Soubirous a travaillé au moulin d’Escoubès de 1855 et 1856 (troisième moulin sur les neuf au total exploités par la famille) et longtemps la tradition locale affirmait que c'était ici que Bernadette et sa famille étaient hébergés. On pense aujourd’hui que c’était plutôt à Arcizac-ez-Angles.

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