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Histoire des refuges de montagne

des Hautes-Pyrénées

Cette page est née d’une idée simple : lister les refuges de montagne des Hautes-Pyrénées et les classer par ordre chronologique. Mais les différentes dates (construction, agrandissement, destruction, reconstruction, réhabilitation, changement d’affectation…) rendent la tâche assez complexe finalement. Aussi, n’hésitez pas à nous corriger ou à apporter des éclaircissements (écrire à loucrup@orange.fr). Merci aux différents sites internet dans lesquels nous avons pioché quelques clichés (leur nom est cité sur chaque photo).

Premiers abris

Mais il fallait être rentré pour le soir ou alors s’abriter la nuit dans des granges, des cabanes de berger ou des toues (construction sous un gros rocher)…

La toue de Doumblas (au bord du lac de Suyen).

Dans les Hautes-Pyrénées, la conquête de la haute montagne, en terme de loisirs, s’est faite progressivement. Les pionniers, les premiers pyrénéistes, partaient souvent d’un hôtel, dont le plus célèbre était certainement l’hôtel des voyageurs à Gavarnie.

L’hôtel des Voyageurs à Gavarnie. Lithographie de Jacottet (1841).

… ou même dans des abris de fortune. Les premiers refuges sont d’ailleurs des grottes devant lesquelles on établit un mur de protection avec des pierres trouvées sur place comme l’abri au pied du Cylindre de Gavarnie, un simple mur adossé à la paroi rocheuse édifié par Henry Russell en 1877.

Exemple d’abri de fortune à la Brèche de Roland.

Parallèlement se créent, de plus en plus près des montagnes, des hôtelleries destinées aux curistes fortunés et à leurs familles. Elles accueillent aussi des touristes étrangers, notamment anglais. Les Pyrénées sont alors considérées comme une des contrées les plus sauvages d’Europe, et nombreux sont les aventuriers désirant effectuer leur « Voyage aux Pyrénées », c’est l’époque « romantique ». Ces modes d’hébergement ont été construits surtout entre 1880 et 1914 : Col de Riou, Pont d’Espagne, Monné de Bagnères, Lac de Gaube, Gripp-Artigues, Cabaliros, La Fruitière, Tourmalet, Lac d’Estom, Chiroulet, Payolle, Tourmalet, Gavarnie…

Hôtelleries de montagne

Hôtellerie du Col de Riou entre Cauterets et Luz.

1882-Les grottes Russell

Les vrais pyrénéistes désirant se rendre au sommet des plus hautes montagnes, dans des endroits reculés et vierges de toutes traces de civilisation, ressentent vite la nécessité de construire des refuges directement dans la haute montagne. Ils relatent par écrit leurs aventures.

De 1881 à 1883, le comte Henry Russell fait creuser à ses frais, 7 grottes dans les flancs du Vignemale. On considère les grottes Russell comme le premier vrai refuge des Pyrénées (si on enlève l’observatoire du Pic-du-Midi destiné à des observations scientifiques). Exposées aux rigueurs des températures, à l’humidité et à la hauteur variable des neiges, elles seront abandonnées dès 1899 et la création du refuge de Baysselance à proximité. Puis, des associations de découverte et de promotion de la montagne prennent les choses en main (Club Alpin Français (CAF), Touring Club de France (TCF) notamment). Elles balisent des sentiers, créent des itinéraires et surtout construisent les premiers refuges dont vous trouverez la liste ci-dessous :

1890-Refuge de la Brèche de Tuquerouye (Lourde-Rocheblave)

Refuge non gardé

Lieu : accessible par le lac des Gloriettes (Gèdre-Gavarnie) et le cirque d’Estaubé.

Altitude : 2666m

Randonnées à faire aux alentours : Lac glacé, Marboré, Mont-Perdu

C’est le doyen des refuges « en dur » dans les Hautes-Pyrénées. C’est aussi le plus haut. Il a été bâti sous sous la direction du bordelais Léonce Lourde-Rocheblave en 1890, puis agrandi en 1927 par une deuxième ogive. Rénové en 1978 puis 1999 et 2005. Il est à cheval entre la France et l’Espagne et fait partie intégrante de l’histoire du pyrénéisme. Une plaque scellée dans la paroi de la brèche est dédiée à Louis Robach, qui gravit 43 fois le Mont Perdu.

1895-Refuge Packe

Refuge non gardé

Lieu : accessible par Barèges, plateau de Lienz puis refuge de la Glère et col de Rabiet.

Altitude : 2425m

Randonnées à faire aux alentours : Pic Long, Lac Tourrat, Turon du Néouvielle

Les plus anciens refuges portent souvent le nom de grands pyrénéistes, ici Charles Packe. Léonce Lourde-Rocheblave renouvelle ici le refuge ogival composé de murs épais en moellons qui se rejoignent pour former une voûte. Il a été inauguré en août 1896 et rénové en 1994-95.

1899-Refuge Baysselance (Ossoue)

Refuge gardé (de mai à septembre)

Lieu : accessible par Gavarnie, barrage d’Ossoue.

Altitude : 2651m

Randonnées à faire aux alentours : Vignemale, GR10

Porte le nom de d’Adrien Baysselance (anciennement refuge d’Ossoue). Toujours bâti par l’infatigable Léonce Lourde-Rocheblave. Construit en 1899, inauguré en août 1900 et rénové en 1999, au cœur du Parc National, il offre une ambiance de haute montagne face au glacier d’Ossoue et au cirque de Gavarnie.

1910-Refuge Russell (Culaous)

Refuge non gardé

Lieu : accessible par Cauterets, La Fruitière, prendre à gauche à mi-chemin du lac d’Estom.

Altitude : 1980m

Randonnées à faire aux alentours : Pics Ardiden, Cestrède, Chanchou, Barbe de Bouc, Lac d'Estom

Porte le nom de d’Henry Russell (anciennement refuge de Culaous). C’est le frère jumeau du premier refuge Wallon (voir ci-dessous), les deux refuges étant construits en même temps par Louis Falisse, un pionnier du ski dans les Pyrénées. Il est bâti au seuil d’un plateau boisé : le Clot du Culaous. Belle vue.

1910-Refuge Wallon (Marcadau)

Refuge gardé (de février à septembre)

Lieu : accessible par Cauterets, Pont d’Espagne.

Altitude : 1865m

Randonnées à faire aux alentours : Grande Fache, Cambalès, Port du Marcadau et Panticosa, Lacs de l’Embarrat…

Le premier refuge Wallon (1910)

De nos jours

Porte le nom d’Ernest Wallon. Frère jumeau du refuge Russell en 1910, il a subi des multiples transformations (la première dès 1922), destructions et agrandissements à travers les décennies. Accès facile au cœur d’un site splendide. En hiver, ski de randonnée ou raquettes. Réouvert en 2022 après 3 ans de travaux.

1913-Chalet-refuge d’Orédon

Refuge gardé (de juin à septembre)

Lieu : au bord du lac d’Oredon, dans la vallée d’Aure.

Altitude : 1850m

Randonnées à faire aux alentours : GR10, réserve naturelle du Néouvielle

Construit en 1913, il ne fut inauguré qu’en 1919, à cause de la guerre. Proche de l’autre refuge d’Orédon, c’est au départ une hôtellerie. C’est plus aujourd’hui un hôtel-restaurant pour randonneurs qu’un véritable refuge, la route étant arrivée jusqu’ici. Pêche, balade et VTT sont au programme dans un cadre idyllique.

1920-1927-Refuge de La Soula

Refuge gardé (de mai à octobre)

Lieu : dans la vallée du Louron, près du lac des Gourguettes par les gorges de Clarabide (parcours pédagogique).

Altitude : 1690m

Randonnées à faire aux alentours : Boucle du lac de Caillaouas au lac de Pouchergues, pics de 3000m d’altitude (Schrader, Abeillé).

Construit dans les années 1920 pour les aménagements du lac de Caillaouas, il sert aujourd’hui de refuge au cœur d’une zone sauvage Natura 2000, nombreux lacs. A été géré successivement par la SNCF, Shell, GDF et Engie.

1926-Refuge Ledormeur (Balaïtous)

Refuge non gardé

Lieu : Val d’Azun, après le lac du Tech, départ du sentier au niveau de la maison du Parc (lac de Suyen en chemin).

Altitude : 1960m

Randonnées à faire aux alentours : Ascension du Balaïtous par le glacier de Las Neous

Porte le nom du pyrénéiste Georges Ledormeur qui le construisit (anciennement refuge de Balaïtous ou plus rarement Labassa). Dernier refuge des Hautes-Pyrénées de style ogival. C’est la porte du Pic de Balaïtous par la voie normale.

Refuge du Lac d’Estom

Refuge gardé (de mai à septembre)

Lieu : Cauterets, vallée du Lutour au bord du lac d’Estom.

Altitude : 1804m

Randonnées à faire aux alentours : plusieurs pics aux alentours des 3000m, Vignemale par le col de Labasse. Etape pour les randonneurs provenant de Baysselance par le Col des Gentianes, les Oulettes de Gaube par le Col d'Araillé ou le Refuge du Clot.

Construit vers 1880, c’est d’abord une hôtellerie pour les promeneurs. Puis, le bâtiment est transformé (légères modifications) en refuge, certainement après-guerre entre 1945 et 1955 (merci de nous renseigner). Nous sommes au cœur du Parc National, dans un site bucolique qui en faisait une promenade romantique à la belle époque. Lieu prisé pour la pêche.

L’hôtellerie ( vers 1910)

A ne pas confondre avec le chalet-refuge d’Orédon à proximité. Construit vers 1880, c’est d’abord une maison pour les ingénieurs travaillant sur place. Puis, le bâtiment est transformé en refuge, certainement après-guerre entre 1945 et 1955 (merci de nous renseigner). Entièrement réhabilité en 2014.

1953-Refuge de la Glère

Refuge gardé (de février à mi-mai puis de juin à septembre)

Lieu : accessible par Barèges, plateau de Lienz.

Altitude : 2153m

Randonnées à faire aux alentours : Néouvielle, refuge Packe, lacs (pêche).

Au cœur d’un site au caractère sauvage, il est situé dans la vallée de la Glère (d’où son nom). Construit par l’association « Jeunesse et montagne » en 1953, qui a profité des travaux menés par EDF, le refuge a été totalement rénové en 2006-2007 pour une inauguration le 8 juin 2008. Belle terrasse avec vue magnifique. Août très fréquenté, les autres mois plus calme.

Au pied de la fameux Brèche de Roland (limitrophe avec l’Espagne), qu’on aperçoit à droite sur le cliché, c’est l’un des refuges les plus connus des Pyrénées au cœur du cirque de Gavarnie. Gros travaux d’extension en 2019 avec apport des matériaux par hélicoptère. Il a été inauguré le 21 octobre 1956, en présence de Maurice Herzog président du Club Alpin Français.

Refuge du Pailha

Refuge gardé (de juillet au 15 octobre)

Lieu : Gavarnie, au pied du Pic d'Astazou et du couloir Swan. Accessible par le chemin du cirque.

Altitude : 1748m

Randonnées à faire aux alentours : Tour du Marboré, couloir Swan, traversée des cirques…

Beau chalet en bois dans un site superbe. C’est en fait un baraquement de chantier utilisé pour les travaux aux lacs du Néouvielle (Oredon, etc…). Après la fin des travaux, le chalet a été démonté pièce par pièce puis remonté ici à dos de cheval ! Il a fallu trois ans pour le remonter, d’après nos estimations en 1956 (mais nous ne sommes pas sûrs, merci de nous renseigner). Il porte ce nom car situé sur le Plateau du Pailha (ou Pailla) au pied des glaciers de Pailha à Gavarnie. René Castagné nous écrit en 2022 à propos de ce refuge : « J'avais 14-15 ans (je suis né en 1950) et je montais avec les mulets de mon oncle Henri Castagné, au Pailla pour apporter les matériaux pour la construction du refuge qui, à l'époque, appartenait aux PTT du Gers qui en avaient fait un centre de vacances pour les enfants des employés PTT du Gers. Cela a duré quelques années et je ne sais plus quand ils s'en sont séparés ».

1956-Refuge de Larribet

Refuge gardé (de juin à 15 septembre)

Lieu : Val d’Azun, se garer à la maison du Parc après le lac du Tech.

Altitude : 2072m

Randonnées à faire aux alentours : Lacs de Batcrabère, Balaïtous, Palas…

Un premier refuge a été inauguré le 26 octobre 1956. Il est situé au Pla de Larribet où les officiers géodésiens Peytier et Hossard avaient dormi dans une cabane pour leur exploit du 3 août 1825 : la « première » du Balaïtous. Quand en 1864, Charles Packe, pense avoir réussi la « première » de ce pic légendaire, il trouve les marques évidentes de l'ascension par les géodésiens qui ont laissé au sommet les vestiges de leur campement et une tourelle. Henri Beraldi, après avoir effectué des recherches, fera sortir les géodésiens de leur anonymat.

Le nouveau refuge a été entièrement refait en 1992, au cœur du Parc National.

1964-Refuge des Oulettes de Gaube

Vue sublime sur la face nord du massif du Vignemale et le glacier des Oulettes. Le refuge a été inauguré le 26 juillet 1964 dans un lieu mythique du pyrénéisme. Rénové en 2007. Une nuit étoilée au refuge des Oulettes vous change pour la vie ! Très accessible en été, c’est l’endroit idéal pour la première nuit en refuge d’un enfant ou ado.

Refuge gardé (de juin à septembre)

Lieu : Cauterets, Pont d’Espagne puis lac de Gaube.

Altitude : 2150m

Randonnées à faire aux alentours : étape du GR10 ou ascension du Vignemale.

1970-Chalet-Refuge du Clot

Refuge gardé (de mai à octobre puis de décembre à mars)

Lieu : Cauterets, Pont d’Espagne, plateau du Clot.

Altitude : 1522m

Randonnées à faire aux alentours : vallée du Marcadau, ski et raquettes en hiver…

Très accessible sur le plateau du Clot, ce refuge inauguré en 1970 a été rénové en 2012.

1970-Refuge d’Ilhéou-Raymond Ritter

Refuge gardé (de juin à septembre)

Lieu : Cauterets, par le Cambasque.

Altitude : 1988m

Randonnées à faire aux alentours : grand lac, cascade, halte sur le GR10, plusieurs pics…

Belle terrasse sur ce refuge construit en 1970 et qui porte aussi le nom du regretté Raymond Ritter.

Et quel panorama !

1972-Refuge des Espuguettes

Refuge gardé (du 15 juin au 15 septembre)

Lieu : Départ de Gavarnie village.

Altitude : 2027m

Randonnées à faire aux alentours : Hourquette d’Alans qui sépare les cirques de Gavarnie et d’Estaubé, hôtellerie de Gavarnie par le chemin des Espugues, escalade des Astazou et du couloir de Swan…

Vue imprenable sur la Brèche de Roland mais aussi sur le Vignemale, le refuge est sur un site d’exception. Les espuguettes sont des petites grottes qui servaient d’abris aux bergers d’autrefois. Nombreuses dans le coin, elles ont donné son nom au refuge.

1972-Refuge de Migouélou

Refuge gardé (du 15 juin au 15 septembre)

Lieu : Val d’Azun, après Arrens-Marsous, au bord du lac de Migouélou.

Altitude : 2278m

Randonnées à faire aux alentours : Tour du Balaïtous (4 jours), Tour des lacs, Col d'Artouste, Pic Cadier, Courouaou, Pic des Tourettes, Pic Milhas....

La construction a commencé en 1971 près du barrage à voûtes de Migouélou édifié en 1959. C’est le départ de nombreuses excursions dans un milieu sauvage et minéral. Nombreux lacs de pêche.

1974-Refuge du Bastan

Refuge gardé (de fin mai à fin septembre)

Lieu : accès par la vallée d’Aure, Soulan, Espiaube puis le col du Portet

Altitude : 2240m

Randonnées à faire aux alentours : Lacs, pic de Bastan, Orédon, halte sur le GR10 ou le tour du Néouvielle…

Le refuge a été inauguré le 13 octobre 1974 dans un site d’une grande beauté. L’accès peut se faire en famille. Superbe vue sur le lac.

1975-Refuge de Barroude (détruit)

Refuge détruit en octobre 2014

Lieu : vallée de la Gela, après Aragnouet (départ au premier lacet du tunnel de Bielsa), au bord de lac de Barroude.

Altitude : 2377m

Randonnées à faire aux alentours : Pic de Troumouse, Petit pic Blanc, Pic de Gerbats,  Pic de la Géla.

Ce refuge a détruit en 2014, probablement par la foudre. On ne sait pas s’il sera reconstruit un jour… Nous sommes dans le cirque de Barroude (ou Barrosa), voisin du cirque de Troumouse.

1978-Chalet-refuge Grange de La Holle

Refuge gardé (du 15 décembre à mars puis de mai à octobre)

Lieu : Gavarnie

Altitude : 1495m

Randonnées à faire aux alentours : tous les sentiers autour de Gavarnie, été comme hiver.

Situé en pleine nature, c’est une ancienne grange rénovée et transformée en 1978 en chalet-refuge confortable. Parfait pour se ressourcer !

1985-Refuge de L’Oule

Refuge gardé (tout l’hiver et de mi-juin à mi-septembre)

Lieu : Saint-Lary, accessible l’hiver en télésiège depuis la station de ski, ou l’été depuis le parking d’Artigusse.

Altitude : 1820m

Randonnées à faire aux alentours : nombreux lacs dont celui de l’Oule bien sûr, mont Pelat, lacs de Bastan…

Agrandi et entièrement rénové en 2013, c’est un lieu incontournable de la vallée d’Aure. Il jouit d’une position idéale pour randonnée dans la réserve naturelle du Néouvielle. Très fréquenté.

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Le refuge avant sa rénovation et son agrandissement. Une inauguration des travaux eut lieu le 2 juin 2007.

Refuge d’Orédon

Refuge gardé (de mars à octobre)

Lieu : au bord du lac d’Oredon, dans la vallée d’Aure.

Altitude : 1850m

Randonnées à faire aux alentours : GR10, réserve naturelle du Néouvielle, nombreuses balades (hiver comme été)

1971-Refuge du Campana de Cloutou

Refuge gardé (de juin à septembre)

Lieu : Campan route du Tourmalet, se garer au virage du Garet avant La Mongie.

Altitude : 2225m

Randonnées à faire aux alentours : nombreux lacs, pics de Bastan, de Campan de Cloutou ou Pic des Quatre-Termes.

Un des rares refuges de la Haute-Bigorre. Très éloigné de la route (3h de marche), il fait le bonheur des amoureux d’une nature sauvage et préservée, mais aussi des pêcheurs. Pins à crochets, relief granitique : nous sommes à l’entrée de la réserve naturelle du Néouvielle. Détruit par un incendie, il fut reconstruit en 1980, puis à nouveau entièrement en 2022.

L’ancien refuge de Campana (détruit), de 1980 à 2020.

1956-Refuge de la Brèche de Roland (Sarradets)

Refuge gardé (de fin mai à fin septembre)

Lieu : accessible par Gavarnie et le col des Tentes.

Altitude : 2587m

Randonnées à faire aux alentours : Tour du Mont-Perdu, plusieurs sommets alentours, Parc national d’Ordesa et ses canyons, cascades de glace…

2023-Refuge d’Aygues-Cluses

Lieu : Barèges

Altitude : 2150m

Randonnées à faire aux alentours : sentiers dans le vallon d’Aygues-Cluses et crêtes alentours, halte sur le GR10.

Photo 2022. Le secteur retenu est situé sur le plateau de la cabane d’Aygues Cluses et du lac de Coueyla Gran. Merci à Maxime et Christian pour les photos et les renseignements..